Oh miroir, mon beau miroir,
dis moi qui est la plus belle ?
La féminité peut se parer
de mille et un bijoux.
Elle peut aussi se vivre
depuis l'intérieur de son être.
Bien sûr que nos bijoux et autres apparats peuvent nous rendre plus belle, nous faire briller de mille feux, le temps d'un instant, d'une soirée ou d'un week-end étoilé.
Mais une fois déshabillée de ces atouts extérieurs, comment nous sentons-nous ? Quelle est notre véritable féminité ? D'où vient-elle ? La ressentez-vous une fois dénudée de tout ?
Pour célébrer et honorer cette fin d'année 2021 et, pourquoi pas, tendre vers une année 2022 plus riche de vous-même, je vous propose de découvrir Coco.
Coco est une invitation à l'exploration de notre vie intime, de notre corps, de notre féminité personnelle la plus profonde.
Si je vous parle de lui, c'est parce qu'il va dans le sens et la cohérence de ma pratique professionnelle. A savoir que notre épanouissement personnel passe par une meilleure connaissance de soi. Dans toutes les dimensions de notre être.
En effet, la sexualité féminine ne me semble pas être qu'une histoire de masturbation et d'orgasmes "de surface". Bien au contraire, je pense qu'elle est plus complexe que cela, prenant racine au coeur de nos espaces intimes et sacrés.
Des espaces dans lesquels ces tissus intimes peuvent porter des mémoires de vécus pas toujours positifs, de même que des mémoires transgénérationnelles douloureuses peuvent y prendre place.
Coco est donc ce qu'on appelle communément un vibromasseur.
Mais il n'en est pas un.
Sa créatrice est une jeune ingénieure française, Marie Comacle. Elle est également la fondatrice de la marque *Puissante*, site internet : www.puissante.co - marque qui crée Coco.
C'est dans ce contexte de connaissance et d'ouverture à soi, de libération de ce qui peut figer notre féminité la plus profonde que Coco peut être agissant.
Ressentir sa féminité d'être, la laisser se révéler à soi, la vivre en conscience et la porter comme le plus rayonnant des bijoux est un cadeau qui, je pense, n'a pas de prix.
Tamara Boyer Michel